Voies de fait et crimes en uniforme contre une famille innocente et vulnérable, dans son habitation, en dépit de l’inviolabilité constitutionnelle de domicile privé et de l’intimité. 

C’est arrivé à Bruxelles, le 7 octobre 2023 … Dossier : Seven of Ten.

Quand ceux qui détiennent le pouvoir orchestrent en toute impunité des actes illégaux, couverts par de sombres pratiques de dissimulation, la lumière de la Vérité doit servir la Justice. Les événements sinistres, fomentés de manière délibérée par des agents publics, dépassent toute logique rationnelle et défient les limites de la décence. Les atrocités commises à l’encontre des citoyens et des institutions gouvernementales placent ces individus au rang des criminels les plus abjects.

Cinq fonctionnaires en bande perdent progressivement le contrôle de leurs émotions et on bascule dans l’horreur : Agressions sauvages et cruautés gratuites contre un père, la fille, l’épouse et la sœur (un sexagénaire dans son logis et 3 dames). Telles actions répréhensibles exigent inévitablement que les responsables comparaissent en justice. Dans un monde relativement ordonné, on imagine qu’ils auraient dû répondre sans délai de leurs crimes devant les tribunaux compétents.

Malheureusement, après plusieurs mois d’hospitalisation et des séquelles irréversibles, presque deux ans plus tard, les victimes se voient poursuivies au pénal pour coups et blessures/rébellion par quatre policiers. Ceux-ci tentent d’insinuer l’implication du vieux père (menotté, face contre terre, genou et main fracturés + infarctus cardiopulmonaire + coma mortel, urgence médicale) dans un acte de rébellion contre ses deux tortionnaires (28 et 40 ans), et celle de l’épouse (maman de 55 ans, timide et réservée) envers ces deux-là et deux autres venus en renforts présentiels, soit quatre policiers aguerris, armés et blindés ! Sans commentaires … pour l’instant.

Les quatre dossiers de plaintes, pourtant très explicites et probants, soumis à enquête au comité Permanent P, qui a conclu au caractère pénal et transmis les dossiers au parquet de Bruxelles, semblent encore sans effet à ce jour. Bien entendu, nous gardons espoir en notre justice et dans les valeurs démocratiques de notre Nation de droit. Il est impensable que de telles exactions se produisent en toute impunité, au grand jour, dans un État supposé être le garant de la loi et de la Constitution.

Il s’agit pour le moins de bavures policières et médicales, de principalement trois fonctionnaires, en collusion, un agent avec un urgentiste du SMUR-CHU-Brien et un secouriste du SIAMU, agissant avec préméditation en bande organisée, ainsi que de dissimulations par faux en écriture, défauts et omissions d’inscriptions aux registres, dans la rédaction des actes légaux…

Dans les faits, ce sont des crimes parmi les plus odieux : tortures, traitements inhumains et dégradants, humiliations publiques, empoisonnements chimiques, négligences médicales, mise en danger de mort, lésions organiques, et complicités, …

PV en rétention vexatoire : Black-out total des services. Par rétention d’informations depuis octobre 2023, l’agent responsable viole le droit de l’article 32 de la Constitution, faisant de fait obstruction aux citoyens d’exercer en Justice l’art. 31 constitutionnel.

Signal d’alarme. Ces agissements documentés, exposés de manière détaillée dans des rapports accablants, constituent un signal d’alarme inquiétant par rapport aux menaces internes qui sapent les fondements mêmes de notre société démocratique.

Le danger le plus vicieux est le ver caché dans le fruit, le traître au sourire enjôleur, l’ennemi intestin, l’intime de confiance, le récipiendaire des plus sensibles secrets, le cartographe des failles et vulnérabilités dans la forteresse érigée imprenable au milieu de nos existences, le détenteur exclusif de l’usage de la force contre autrui.